Nous et les enfants de FANON. Des destins croisés
J’ai découvert pour la première fois l’existence de Frantz Fanon au cours d’une promenade d’été dans les rues d’Alger. J’avais 18 ans. Son nom, inscrit sur des plaques de rues ou de lycées, m’intriguait. Quelle était la place de ce « gaouri » (« occidental » en arabe) accepté dans l’agora algérienne, alors que tous les noms français avaient […]