Un peu de cocaïne pour me délier la langue

En détails

  • Date de publication :

    2005

  • Langues

    Français

  • Indexation décimale :

    340 (Thérapies psychanalytiques, oeuvres et critique)

  • Cote :

    340 FRE

  • N° d’exemplaire :

    00032

  • Support :

    monographie

  • ISBN :

    2914388764

Résumé : «J’étais très beau et je me faisais à moi-même la meilleure impression. Nous avons pris une voiture (en partageant les frais). Ricchetti terriblement nerveux, moi tout à fait serein grâce à une petite dose de cocaïne, bien que son succès à lui soit assuré, et que j’aie pour ma part toutes les raisons de craindre le ridicule. (…) Voilà quelles ont été mes performances (ou plutôt celles de la cocaïne) et j’en suis très satisfait.»
Freud, lettre à Martha datée du 20 janvier 1886.
Dans le courant des années 1880, le jeune Freud, qui n’a pas encore arpenté les labyrinthes de l’Inconscient, tente de se faire connaître en publiant des études concernant l’erythroxylon coca, plante à partir de laquelle on fabrique un alcaloïde, la cocaïne, dont il vante les propriétés. Nous joignons à ces études, dont le lecteur francophone trouvera ici une nouvelle traduction, quelques lettres à Martha Bernays, sa future épouse, qui nous éclairent sur l’intimité de Freud avec la drogue.

  • Auteurs : FREUD, Sigmund
  • Fonction : Fondateur de la psychanalyse
  • Éditeur : Max Milo
  • Langue : Français
  • Pages : 1 vol. (95 p.)
  • Couv. : 21 cm
  • Collection : Essais et documents